Dans les stades, la mort fait son gros œuvre

Travail forcé, réduction en servitude.» C’est l’intitulé pénal de la plainte déposée en avril par l’association Sherpa, en tandem avec la CGT, visant le constructeur Vinci, en charge de nombreux chantiers dans l’émirat en vue du Mondial 2022. Elle aurait aussi pu viser d’autres entreprises, comme Bouygues (qui œuvre à la construction de neuf tours de bureaux, 700 000 m2), mais Vinci a été pris comme simple exemple.

Lire la suite sur Libération