
Mobilisation au Teil : 200 personnes présentes
Salariés, représentants du personnel locaux et nationaux des trois lignes de produits Ciments, Bétons et Granulats LafargeHolcim de toute la France, mais aussi LSF (Lafarge Services France) ainsi que la Fédération Construction CGT et notre Secrétaire général ont participé à cet événement de grande ampleur.
Des élus locaux, généraux, régionaux et nationaux se sont mobilisés pour la défense de l’emploi.
Un rassemblement sans précédent que la presse, la radio, et la télévision ont largement relayé.
Merci à vous tous ainsi qu’aux camarades de Calcia et de Kerneos qui sont venus soutenir cette action collective et solidaire.
Une minute de silence a été respectée à midi en hommage aux victimes des attentats parisiens. Proposition a été faite à la Direction du site de venir se joindre à nous pour nous recueillir ensemble dans ces moments d’unité nationale mais elle n’a pas donné suite et a préféré respecter cette minute de silence dans ses bureaux.
Nous respectons le choix et la sensibilité de chacun. Pour autant, et sans vouloir donner de leçons, nous sommes convaincu qu’il est indispensable de rester forts et soudés dans des moments où l’unité nationale doit être souveraine.
POURQUOI CETTE MOBILISATION ET CE MOUVEMENT DE GREVE ?
Le Groupe LafargeHolcim supprime de nombreux emplois au nom de la compétitivité alors que par exemple dans la ligne ciments, la rentabilité atteint des sommets même en période de crise.
Plus de 28% de rentabilité et des parts de marché qui restent stables comme avant la crise.
C’est donc une volonté de la part de nos dirigeants d’appliquer une politique financière de gavage des gros actionnaires au détriment d’une véritable politique industrielle basée sur des investissements de développement et de maintien de l’outil industriel.
D’autre part, et au travers des différentes informations/consultations des Comités d’Etablissements concernant les projets de réorganisations sur les sites, des éléments économiques telles que les marges opérationnelles ne sont pas portées à la connaissance des représentants du personnel qui ne peuvent pas faire une analyse rationnelle et précise de la situation.
Ensuite, Le Groupe LafargeHolcim est en train de développer une stratégie qui consiste à faire valider par l’Administration, c’est-à-dire l’Etat, un processus qui lui permettra de restructurer et de réorganiser l’ensemble des sites quand il le voudra, où il le voudra et comme il le voudra.
Tous ces éléments confirment bien que nos dirigeants ont perdu toute notion de loyauté envers les salariés.
De plus, la volonté du Groupe de refondre et de flexibiliser le Code du Travail pour faire valider sa stratégie sans en avoir eu pour le moment la moindre autorisation, démontre sans ambiguïté une volonté de réduire les effectifs le plus rapidement possible.
C’est pour toutes ces raisons que la CGT revendique le retrait de l’ensemble des projets de réorganisations dans tous les sites LafargeHolcim.
Les publications
Com fédérale n°86
Infos fédérales n°525
Aplomb n°103
Com fédérale n°85
Com fédérale n°84
Aplomb n°102
Batisseur n°527 – Novembre 2022
Batisseur n°526 – octobre 2022
Le batisseur – septembre 2022
Infos fédérales n°523
Journal Auvergne Construction
Aplomb n°101
Aplomb n°100
Infos fédérales n°522
Com Fédérale n°83
Infos fédérales n°521
Com fédérale n°82
Com fédérale n°81
Infos fédérales n°520
Aplomb n°99
Le batisseur n°521 – Avril 22
Com fédérale n°81 : compte rendu congrès 2021
Com fédérale n°80 : La cité de demain
Infos fédérales n°518
Aplomb n°98
UFRCBA actualités janvier 2022
Infos fédérales n°517
Aplomb n°96
Aplomb n°97
Journal Auvergne Construction
Infos fédérales n°516
Infos fédérales n°513
Batisseur n°513 – aout 2021
Bâtisseur n°512 – Juin 2021
Infos fédérales n°514
Infos fédérales n°509
RCBA n°96
Infos fédérales n°511
Com fédérales n°79
Infos fédérales n°512
Bâtisseur n°511 – Avril 2021
Newsletter n°5 – 2021
Aplomb n°95
Newsletter n°3 – 2021
Bâtisseur n°509 – février 2021
Newsletter n°2 – 2021
Bâtisseur n°508-Janvier 21
Ensemble, construisons nos JO 2024 !
“Pas de pognon, pas de béton”
La protection sociale des constructeurs